Bons braisés de partout !
Comme chaque année, au mois de juin, les amis, la tâche vous échoit : allumer le barbecue. Les enfants le savent bien : « Le barbecue, c’est papa » et « le pique-nique c’est maman ».
Et ce n’est pas une sinécure : s’il fait froid, on n’a pas envie d’un barbecue, et s’il fait chaud, on n’a pas envie d’allumer le barbecue. Mais c’est votre défi du printemps, vous pourrez crâner si vous pouvez cramer. Vous allez donc au charbon ! Le barbecue s’apprend avec difficulté, car le barbecue ça prend avec difficulté. Comment transformer en tisons rougeoyants des morceaux de charbon de bois ? Quelle idée d’utiliser un truc déjà brûlé pour allumer du feu. Avec le barbecue, vous êtes vite sur des charbons ardents, bonjour les énervements. En soufflant délicatement sur le morceau de journal fumant qui incarne votre dernier espoir, vous vous interrogez sur l’origine du barbecue.
Cela ne peut être qu’une invention anglaise, ou alors Jeanne d’Arc serait morte de faim, en attendant que « ça prenne ». Le dictionnaire, que vous déchirez pour alimenter le feu, avance une étymologie espagnole, sans doute en référence aux bûchers de l’Inquisition. Mais l’origine est à coup sûr française : prononcez sans accent, « barbecue » rapproche dans ses sonorités deux parties du corps humain d’habitude éloignées, mais qui se rapprochent considérablement quand on reste accroupi deux heures pour allumer le feu. A force de faire des cendres, votre échec est cuisant. Soudain ça prend. Peuvent alors survenir de multiples catastrophes : 1 Les brochettes sont trop courtes et baignent dans la cendre. 2 On n’a pas préparé la béchamel. 3 Il se met à pleuvoir. Mais la cuisson est achevée. Après le « ça prend », voilà le « c’est prêt » ». Les morceaux de viande ressemblent au charbon qui a servi à les faire cuire, et chaque brochette à une enfilée de cendres. La moutarde et le ketchup vont d’un bout à l’autre de la table pour masquer le goût de brûlé : c’est la dérive des condiments. Demain c’est juré, on mange un USA !
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La séance du 14 mai 2024 est ouverte à 14h30 par le président Dominique.
Présents : Jean-Paul, Claude, Danielle, Francine, Christian, Lydie, Michel, Noël, Jean-François, Philippe, Dominique, Jean, Guy, André, Yolande et Paul.
A pis beurre de tout iou.
Malgré son absence, nous fêtons l’anniversaire d’Anita.
Atelier Son - 45’’ – donné par Jean-Paul Bouccin Jean-Paul nous explique, en théorie et en pratique, comment se passe la sonorisation d’un film
1. La bande inter Elle permet de diffuser le film dans plusieurs langues Elle comprend les sons originaux, les bruitages et les musiques
2. L’enregistrement des commentaires
3. Le mixage Dans la prise de son : choix et emplacement des micros Jean-Paul avec son synthétiseur et sa table de mixage nous fait une démonstration pratique. Le synthétiseur restitue la musique d’un piano, de l’orgue, d’un accordéon ou d’un orchestre. Avec comme exemple le film « Rhodes for ever », Jean-Paul nous explique la composition de la bande son du chœur de femmes et le mixage musique et paroles pour le générique. En pratique c’est la production qui réalise la bande son avec le film, et les professionnels montent toujours d’abord la musique et puis le commentaire. Les logiciels auraient en stock une série de sons. La connexion de l’audio au PC se fait avec une fiche « Midi », et le contrôle par casque est préférable. Commentaires : Nous réalisons que nous n’y connaissons pas grand-chose en matière du son et de son contrôle, il s’agit d’un métier. Et nous apprécions l’exposé de Jean-Paul et ses explications. Comme nous sommes conscients que nos logiciels de montage nous proposent une série de filtres audio, que nous n’employons pas, parce que nous ne savons pas nous en servir, Jean-Paul nous propose de nous apprendre à les employer. A sa rentrée en Belgique, début de 2025, Jean-Paul organisera un atelier pour nous apprendre à manipuler ces filtres audio.
Projection des films.
A la découverte du Nord du Portugal - (12’39’’) - Film de Dominique
Synopsis : en compagnie de mes amis Céleste et José, nous partons à la découverte du nord du Portugal.
Vous en dites : Impression générale est bonne, les images sont bien composées, les couleurs sont fidèles, l’exposition est correcte. Présence de bruits parasites, les aboiements d’un chien, si on le voyait cela pourrait être acceptable, comment éliminer les bruits intempestifs extérieurs (chiens, motos, autos, circulation ? voir JP. Bouccin et attendre 2025 !). Il ne faudrait pas utiliser une musique qui contient des voix (chants, chœurs etc.) pour sonoriser nos films, elle a tendance à perturber l’audition des interview et des commentaires. La question qui revient très souvent, n'est-il pas préférable de faire deux films, lorsque le sujet n’est pas bien défini, l’un pour la famille et l’autre, différent, qui est destiné à la projection au RCCW ?
Le train Covid-19 en confinement - (5’02’’) - Film de Christian Goossens
Synopsis : Et j’entends siffler le train … musique de Richard Anthony.
Entendu parmi vous : Excellent petit film. Bien tourné, une animation agréable à regarder. Les images sont tellement réalistes que l’on croirait être dans le train alors qu’il s’agit d’un circuit de train électrique miniature. Très bonne idée d’avoir fixé le caméscope sur un wagon, et d’avoir modifié la vitesse de passage. Bravo.
POZOBAR
TV-Com - Interview Alain Libert - (film 5’40’’) - Analyse de l’interview par Guy (20’)
Synopsis : TV-Com a présenté le 20/04/2024 une très belle émission d’1h sur : Les 80 ans du bombardement de la gare d’Ottignies, 20 avril 1944. Guy en a extrait l’interview de 5’40 d’Alain Libert. Guy souhaite nous présenter cet extrait et nous expliquer ensuite comment TV[1]Com a interviewé Alain (nombre et position des caméscopes, etc. …)
Vos avis : Discussions et examen sur différents sujets. L’interviewé ne doit jamais regarder la caméra. Attention aux bruits extérieurs, éteindre les Gsm. Laisser parler la personne. Attention à la résonnance du local. Respecter la règle des 180°. Keksecsa ? Nous avons également évoqué le focus variable, keksecsa encore ? Comment faire un « focus variable » ? La technique du Focus variable est facile à réaliser, même avec un camescope grand public, pour autant que celui-ci dispose d'un débrayage de l’autofocus. (Manuel) Il faut cependant que les conditions favorables soient réunies : plan fixe de préférence, sujets toujours statiques et positionnés l’un derrière l'autre par rapport à l'axe de point de vue. Adoptez une assez longue focale (zoom en téléobjectif) et placez le camescope de façon qu'il se trouve au plus près du sujet en avant-plan tout en permettant de conserver le sujet en arrière-plan dans le cadre. L'objectif est d'obtenir une profondeur de champ (PdC) minimale pour n’avoir la netteté que sur une petite partie de l'image. Il peut être nécessaire, si la PdC est encore trop grande, de réduire la quantité de lumière baignant la scène ou d'opter pour une focale encore plus longue (complément téléobjectif). Débrayez ensuite l’autofocus et passez en réglage manuel (focus manuel). Une fois que toutes ces conditions sont réunies, il suffit de tourner légèrement (dans le bon sens. _.) la bague de mise au point pour que la netteté soit reportée, par exemple du sujet en avant-plan sur l'autre sujet placé derrière lui. Certains camescopes disposent de système d’aide à la mise au point que vous pouvez également employer. Par exemple, le Spotfocus de Sony avec lequel vous indiquez du doigt sur l'écran tactile la zone de netteté souhaitée. Il est dommage qu’Alain, dans le feu de l’action sans doute, ait oublié, dans son commentaire, la participation du RCCW pourtant mentionné dans le générique du film.
Les Films :
Inspection-fiction - (4’12’’) - Film de Michel (le grand)
Synopsis : Service militaire en Belgique : formation des jeunes recrues au maniement des armes … Entendu dans les rangs : Il s’agit d’une fiction, sujet bien rare dans notre club. Film sympathique, satirique et humoristique.
Réalisation de Michel aidé par des amis du club Cinam de Namur. Les difficultés à la réalisation d’une fiction sont multiples, trouver les acteurs, réunir les vêtements et accessoires, reconnaissance des lieux de tournage etc. Difficultés qui nous avaient été exposées, en son temps, par Georges Ruttiens.
Découverte du Vercors - 2ème partie - (8’50’’) - Film d’André VD.
Synopsis : 2ème partie de notre découverte de la région du Vercors. André a tenu compte de vos remarques sur la 1ère partie : moins de textes, et plus de commentaires vocaux.
Et vos réactions : La suite des images est conforme aux premières, c. à d. très bien cadrée, bonne mise au point, bien réussie. Les quelques images d’Internet ne sont presque pas perceptibles. Comme c’est le PC qui contrôle le son, cette méthode devrait être revue et améliorée. Les commentaires sont appréciés. Il faudrait ajouter un son de moteur pour les plans dans l’avion pour faire plus vrai et peut être ajouter une petite interview du pilote. La DJ2 se montre toujours très stable même à bicyclette.
Festival de culture - (2’56’’) - Film de Raoul
Synopsis : le Festival de sculptures de sable de Middelkerke vous propose un parcours de sculptures de sable…
Les commentaires : La résolution des images devrait être améliorée, elles passent en qualité VHS. Il y a quelques cascades dans l’enchainement des plans. Mais les gros plans sont réussis.
A 17h30, le président Dominique nous salue et nous donne rdv le mardi 11 juin à 14h30 même endroit.
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Aujourd’hui 11 juin 2024, à 14h30, le président ouvre la séance.
Présents : Jean-Paul, Claude, Danielle, Christian, Lydie, Bernard, Michel (du train), Michel (le grand), Jean-François, Philippe, Dominique, Jean, Anita, Guy, André VD. et Yolande.
Challenge 2024 - analyse des films
Depuis plusieurs séances, nous avions planifié de revoir les films primés du Challenge 2024, pour analyse et commentaires.
Palmarès du Challenge 2024.
1er Dominique : Un élevage bien particulier
2ème Alain : Cani cross avec Muriel et Clara
Ex aequo 3 ème Guy : Mère et fille
3 ème Yolande : Une passion qui donne des ailes
Alain étant absent, nous analysons les films de Dominique, Guy et Yolande.
Un élevage bien particulier.
Vos avis : Sujet intéressant, éducatif et bien travaillé. Spécialiste des lépidoptères, reconnu et international, l’interview de Georges Verhulst est appréciée. Certains plans devraient être recadrés pour éliminer des images parasites. Attention au réglage du micro-cravate.
Une passion qui donne des ailes.
Vos avis : Les deux films se complètent et se marient. Il y aurait intérêt à en faire un seul montage. Les plans se complètent tout en ayant une autre vision et une autre approche intéressante du sujet, peut-être plus féminine. Les explications et les commentaires de G. Verhust ajoutent des détails.
Mère et fille.
Vos avis : Activité sportive peu connue et controversée. Les 4 séances de prises de vues sont bien montées, les ralentis sont appréciés. Images nettes et bien cadrées. L’utilisation du drone est remarquée. L’audio des interviews est excellent, malgré l’environnement extérieur sujet à la perturbation du vent.
Cani Cross avec Muriel et Clara.
Vos avis : Les deux films se complètent harmonieusement. Images excellentes soutenues par l’interview bien dosée et rendue. On en apprend plus sur la race de chien Braque allemand.
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Projections de la séance :
Escapade dans le Nord et Pas-de-Calais - 16’00 - Film de Guy.
Synopsis : Sous une météo tempétueuse, présentation d’une région méconnue à deux pas de chez nous !
Et vous en dites : La musique de fond chantée n’est pas un bon choix. Il y aurait deux films dans ce montage. On reconnait la qualité du rendu des images et la stabilité à toute épreuve de la DJ3. Très bien d’avoir utilisé une voix féminine pour entrecouper les commentaires. Bon reportage sur cette région si proche de chez nous. Vues intéressantes de Gravelines, Dunkerque et Passendaele.
Pozobar
Titanic – 8’40’’ - Film de Jean.
Synopsis : Titanic, que dire sur ce navire, sur cet évènement, sur cette catastrophe, sur ce naufrage, combien d’études, de parutions, d’articles, de livres, et de films, n’ont-ils pas été écrits, publiés et lus ? Aussi, ce petit montage, peut-on dire film, est à voir comme un rapport de la visite de l’exposition, qui se tient pour le moment à Bruxelles, jusqu’au 30 juin 2024, dans les locaux des Tour et Taxis.
Entendu dans les rangs : Bravo. Pour qu’un film soit intéressant, il y a trois conditions : La première . . . . . . il faut une histoire. La deuxième . . . . . .Il faut toujours une histoire. La troisième . . . . . . Il faut encore une histoire. Et ici on a raconté une histoire. Très bon commentaire. Images bien cadrées. Exposé et discussion historique sur le site de « Tour et taxis ».
L’histoire de la Vennbahn - 7’04’’ - Film de Michel (le grand).
Synopsis : il s’agit d’une des plus belles voies vertes cyclables européennes qui relie Aix la Chapelle jusque Trois Vierges au Grand -Duché de Luxembourg, sur une distance de 125 km. Nouvelle version, faisant suite au 1er film présenté en mai 2023.Cette version est accompagnée d’une chanson en 2 parties : la première est chantée par un jeune garçon et sa famille, et la deuxième est chantée par cette même personne mais 38 ans plus tard, accompagné par ce même groupe connu depuis longtemps en Allemagne, The Kelly Family.
Vos réactions : Excellente réalisation, dont les images, les plans et la musique bien choisie comme support, font ressentir le romantisme allemand. Et pourtant ici le réalisateur a choisi une musique chantée. Mais ici elle n’interfère pas le commentaire, au contraire elle soutient les images. Le réalisateur parle avec sa caméra. On déplore la tête coupée du chanteur qui aurait pu être remplacée par une transparence. Discussion intéressante et historique sur la territorialité de cette voie ferrée à la suite du traité de Versailles.
Musée du souvenir : Maléves-Sainte Marie - 10’20’’ - Film de Christian Goossens.
Synopsis : ce film a été réalisé à la demande du bourgmestre de Jodoigne. Une copie a été remise aux pro d’histoires de la région.
Vous en dites : Un manque évident de commentaire. C’est un diaporama, la seule image du film qui bouge est celle de la main qui ouvre une armoire. Le conservateur du musée aurait pu donner des explications. Les images sont de bonne qualité, bien cadrées font ressentir une certaine émotion pour cette période de 1943/44 qui précède notre libération.
Julia transforme la laine de ses moutons - 7’54’’ - Film de Dominique.
Synopsis : Julia, notre amie anglaise, s’est reconvertie dans plusieurs métiers et notamment dans la transformation de la laine de mouton.
Vos commentaires : Cadrage bien rendu d’images des Asturies où essayent de s’intégrer des migrants anglais. Film intéressant sur le cadrage et la filature de la laine artisanale. Musique bien choisie.
Le président ferme les débats à 17h30.
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Pas que pour les nuls.
L'Intelligence artificielle (I.A.) pour les nuls en 50 notions clés (First) se lit comme un guide de survie dans ce domaine aussi exaltant qu'émergent. Thomas Solignac, l'auteur de cet ouvrage, a beau aborder des notions abstraites comme le connexionnisme, qui s’oppose au symbolisme, il le fait toujours avec clarté.
Dans Elon Musk. Le bonimenteur (Eds. du Rocher), le fin connaisseur du numérique qu'est Boris Manenti passe au scalpel les nombreuses contradictions du multi-entrepreneur. Précieux pour décrypter ses prochaines déclarations tonitruantes.
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Mardi 25 juin 2024, le président Dominique déclare à 14h30, la séance ouverte.
Présents avec droit de vote : Claude, Danielle, Francine, Lydie, Michel (du train), Michel (le grand), Noël, Jean-François, Philippe, Dominique, Jean, Anita, Guy, André T., André VD., Yolande et Paul.
A pis beurre de tout iou. (…Happy birthday to you !)
Le 21/6 Michel (du train),
Le 24/6 Paul et le 29/6 Jean sont applaudit très chaleureusement.
Et le président en exercice, Dominique, déclare l’Assemblée générale du RCCW ouverte.
Rapport du président :
Le président remercie chacun des membres du RCCW pour leur camaraderie et leur amitié qu’il image par celle d’une cordée d’alpinistes dans laquelle chacun a sa part de responsabilité qui garantit la sécurité de tout le groupe. Il site ensuite le comité, et spécialement le vice-président qui a la charge de l’initiation au logiciel de montage Edius, qui équipe presque la majorité des membres. Guy assure cette tâche avec brio et constance. Dominique remercie ensuite le trésorier, André T., qui assure l’excellente tenue et situation financière du RCCW. Le président remercie alors particulièrement le secrétaire dont la fonction administrative permet au Club de suivre harmonieusement le chemin qu’il suit depuis 70 années. Il parle ensuite avec éloges de Jean, le rédacteur du MACAméscope qui mensuellement relate la vie du RCCW. Et puis il y a Yolande, qui avec calme, doigté, détermination et sureté assure la projection des films, sans qui le club ne serait pas ce qu’il est. Le président n’oublie pas nos cantinières, Dany et Lydie, fidèles à la Pozobar, qui assurent aux membres un partage d’idées, toujours avec modération, autour de boissons bien fraiches.
Rapport du trésorier : Le bilan des comptes du RCCW de l’année 2023-24 se solde par une situation complètement en équilibre. Rapport du secrétaire : Un Power Point clair et précis expose le bilan des réunions de l’année 2023-24, avec les manifestations de celles-ci, concours, séances spéciales, invités, excursion et banquet.
Un montage vidéo du bilan de l’année est ensuite projeté. André, secrétaire d’un club de vidéastes, illustre ainsi parfaitement et de manière filmée notre violon d’Ingres.
Par un vote unanime des membres présents, le président Dominique et son Comité sont réélus pour l’année 2024-2025.
Projection des films
Le Château de Boussu-en-Fagnes - (9’50’’) - Film de Michel (le grand)
Synopsis : découverte faite à vélo lors d’une étape du beau vélo de Ravel en juillet dernier, j’ai flashé sur ce château, lors de la traversée du parc, j’ai fait quelques photos comme beaucoup, puis j’ai interpellé le jardinier, qui m’a conduit vers le châtelain à qui j’ai expliqué que je faisais du reportage vidéo, il a après quelques temps, accepté ma demande après avoir été voir ce que je faisais sur YouTube, et s’est mis à ma disposition deux semaines plus tard, voici le résultat.
Et vous en dites : Très bonne réalisation bien filmée. Bien que filmé en SD, la moins bonne qualité ne se remarque pas, merci à l’excellence de l’objectif. Qualité excellente de l’interview, très claire, son parfait. Ici aussi l’emploi du micro-cravate se remarque.
Un dandy du Cotentin - (13’40’’) - Film de Lydie & Jean
Synopsis : Dans ce pays tourmenté du Cotentin, naît Jules Barbey d’Aurevilly, un jour d’hiver sombre et glacé, le 2 novembre 1808, jour des morts, jour des soupirs et des larmes. C’est sur ces terres agitées, au sein d’une petite noblesse agonisante, au lendemain de la Révolution française, que grandit l’enfant.
Les commentaires : Bravo, bon film, bien tourné avec un commentaire intéressant. C’est une histoire dans la grande Histoire.
Picardie-Normandie - (11’39’’) - Film de Guy
Synopsis : Escapade hivernale en Picardie-Normandie.
Les réactions : Belles images de ce souvenir de vacances en 2018. Les images rendent bien l’impression de l’endroit. Les plans du givre qui argente tout ce qu’il recouvre sont appréciées. Un peu trop de zoom et de transitions.
Les oubliés de « Titanic » - (11’ 17’’) – Film de Claude.
Synopsis :
Entendu dans les rangs : Bravo, c’est un tout autre regard sur l’expo. Très bon commentaire, bien exposé, voix bien claire, bonne diction. L’utilisation du N/B est bien appréciée et se justifie. Film émouvant qui fait ressentir l’émotion des passagers de 3e classe, dont l’expo parle peu et qui représentent le plus de victimes.
Le président ferme les débats et souhaite aux membres de bien passer la période d’été et donne rdv en octobre pour passer à nouveau une nouvelle année 2024/2025 au sein du RCCW.
L’Eté, avec un « E » majuscule, cet été que nous allons entamer vraiment prochainement. Cet été tant attendu dans nos contrées brumeuses, pluvieuses et qui est symbolique d’espoir et de renouveau. L’été invite aux vacances, aux déplacements, aux promenades, (un projet de promenade vous a été proposé), aux barbecues (voir plus haut), à une approche plus détendue de nos réalisations, mais aussi aux rencontres plus informelles, plus soft comme on dit, et plus amicales. Il est curieux de constater d’ailleurs que lorsque nous évoquons nos souvenirs d’enfance, ce sont bien souvent les vacances d’été qui s’imposent d’abord à notre mémoire.
Toutes et tous nous avons retenu des étés torrides, des joies de la campagne, des jeux et des rencontres au fil des vacances. La comtesse de Ségur les évoque dans « Les vacances » et Pierre Loti écrit dans « Le roman d’un enfant », les chapitres qui s’égrènent au rythme des vacances. Les bons souvenirs, les aventures heureuses sont celles vécues pendant cette atmosphère de soleil et de liberté. Et l’année du RCCW aussi coïncide parfaitement avec celle des écoles. Elle se termine en fin d’année scolaire et entame la période estivale.
Cette période est propice à faire mieux connaître nos amis, à avoir des conversations plus intimes, à se rencontrer plus amicalement, à s’apprécier, à se découvrir et à se voir. C’est la période aussi où nous espérons que quelques amis, qui n’en ont pas encore eu l’occasion, prennent à profit pour nous entretenir de quelque projet ou réalisation qu’ils ont à cœur, et partager avec nous leur espérance de réalisations. MACAméscope également se met en veilleuse et espère partager ces bons moments avec vous.
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