N°273 - Novembre 2019

Les vieux de ma jeunesse ne portaient pas de baskets.

Me voilà parvenu à un âge auquel lorsque jétais encore jeune je n’ai pas connu beaucoup de personnes qui avaient l’âge que j’ai aujourd’hui.

À partir de 60 ans, on rédigeait son testament. Les octogénaires étaient rares. On ne célébrait pas son centième anniversaire sans recevoir un membre de la Maison Royale et un certificat de félicitations. Les vieux qu’on n’appelait pas encore des séniors prenaient leur retraite quand ils le souhaitaient et ne touchaient pas que des pensions. Les plus avisés, qui avaient placé leurs économies autrement que dans les emprunts russes, constituaient le bataillon (aujourd’hui comptement disparu) des rentiers. Aux dividendes obligataires qu’ils percevaient avec une belle régularité, s’ajoutaient les coupons des actions que les groupes industriels distribuaient.

Chez eux tout était solennel, l’habillement, la démarche, la gestuelle, les propos les plus futiles et même la façon dont ils posaient un bref baiser sur notre front juvénile. On les entourait d’un respect non feint, justifpar des barbes de plus en plus blanches. Alzheimer n’ayant pas commencé ses ravages, ils évoquaient des souvenirs parfois antérieurs à leur naissance.

es vieux de mon adolescence n’essayaient pas comme aujourd’hui de faire jeunes. Au contraire, ils en remettaient volontiers une couche sous la forme de chapeau melon, de col à coin cassé, de costume trois pièces et de guêtres servant de housse à leurs chaussures vernies. Bourgeois et fiers de lêtre, ils ne sortaient jamais sans leur canne à pommeau d’argent et leurs gants beurre frais.

Les vieux de mon enfance portaient autant de bijoux que leurs épouses : lépingle de cravate qui piquait une vraie perle sur une lavallre soyeuse ; la montre en or avec chaîne et couvercle du même métal à laquelle la poche du gilet tenait lieu décrin ; la chevalière servait de support à un petit diamant.

La galanterie n’était pas un vocable péjoratif, et tenir la porte pour une dame n’était pas considéré comme une agression sexuelle.

Cancre en classe, jai fait mes humanités à table où l’interdiction de parler mobligeait à écouter des propos pas toujours passionnants mais exprimés en tenant compte d’une concordance des temps poussés jusquà l’imparfait du subjonctif.

Ils avaient leurs vedettes : les sociétaires du Tâtre du Parc ou des Galeries et ils n’étaient pas peu fiers de raconter que Tino Rossi bedonnant et un peu chauve mettait en transes des admiratrices qui pour avoir un contact avec lui se jetaient en travers de sa voiture.

Oui les vieux de ma jeunesse ne portaient pas de baskets.

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Séance du 12 novembre 2016.

Le président Dominique ouvre la séance à 15h05 (Noël étant arrivé).

Présents : Bouccin Jean-Paul, Dumont Danielle, Gras Lydie, Heytens Jean- Pierre, Libert Alain, Mathieu Noël, Mertens Raoul, Moens Jean-François, Mommer Philippe, Montoisy Dominique, Plas Jean, Robberechts Guy, Ruttiens Georges, Thisse André, Van Dorpe André, Van Dyck Yolande, Vanden Bossche Rosine, Van Helshoecht Paul,

Excusés : Arcelin Georges, Cousin Michel, De Bourdere Elisabeth, De Coo Martine, Fosseur Francine, Liégeois Michel, Rabaey Anita, Stadion Marie-Claire, Weikmans Marc

Il y a 19 participants à la réunion.

Communications de service.

Vous fêtez les anniversaires de

Yolande le 18    Jean-Pierre le 14

Challenge :

L’école des Beaux-Arts de Wavre dispense 6 spécialités : la peinture, le dessin, la céramique, la photographie, la gravure et l’histoire de l’Art et cela à des élèves d’âges différents. Qui est candidat pour prendre en charge un atelier ? Il faudrait 2 à 3 membres par atelier.

Peu de membres enthousiastes … seulement 4 candidats. Le sujet est abandonné, on recherche un autre sujet.

One minute film, le mardi 24 mars 2020.

Thème : George et Raoul proposent « Une carte postale » c. à d. filmer une image, un endroit, un site, une ville, un sujet, une réalisation, présenter et mettre ce motif en valeur. Il pourrait s’agir d’un voyage, d’un week-end, d’une excursion, d’une promenade, d’une ville ou d’une région. Un commentaire n’est pas nécessaire, mais apprécié. Tout comme un fond musical n’est pas indispensable mais il en sera tenu compte.

Tout apport exrieur, internet, réseaux sociaux, etc.  . . .  est interdit. Durée : 60 secondes, bande amorce, sigle et générique compris. Confidentialité : le sujet n’est pas retenu. On reconnait toujours lauteur.

Évaluation : On pourrait faire appel à un jury exrieur, qui lui évaluerait les films tenant compte de la réalisation, de la présentation, du cadrage et du montage et jugerait donc les réalisations objectivement. (Proposition de Raoul)

Un prix du public, plus subjectif traduisant le ressenti des membres, sera également organisé.

Excursion le mardi 26 mai 2020.

La visite de Leuven (style de notre escapade à Lier en 2019) avec guide, repas du midi est présenté par André VD et acceptée par les membres. La balade en bateau de Lier serait remplacée par une balade dune heure en « petit train », un wagon de 25 personnes rien que pour le RCCW. Un programme détaillé vous sera présenté d’ici quelques séances.

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Dominique débute les projections avec un film de Lydie et Jean « La Normandie de Madame Bovary » 11.

Lors de la séance précédente vous aviez examiné ce film et émis des suggestions pour son amélioration. Il y avait notamment des antennes de télévisions trop présentes et un pied de photo sur le parvis de la catdrale.

Les images ont été retouchées et les antennes effaes avec « Photoshop » Comment procéder ?

Il faut faire une « image fixe » du plan concerné (il devient

Donc une photo), exporter ce plan sur un disque. Ouvrir « Photoshop », ouvrir le Plan en question et avec les outils du logiciel le retoucher. Le travail terminé, « enregistrer sous » sur un disque. Dans le logiciel de montage ouvrir le film et importer le plan.

Les « images fixes » et les photos se travaillent avec « Photoshop », les vidéos se travaillent avec « After Effects ».

Le trépied de photo a été supprimé avec leffet « Cadrage »

Cet effet se trouve sur la plupart des logiciels évolués.

La   séance   de   projection   se   poursuit   avec   le   film   de   Raoul   « Les envahisseurs »330, remake d’un film déjà passé au Club et remanié. D’après l’auteur est-ce un reportage ou un documentaire ? Ne serait-ce pas plutôt une gentille satire de notre monde moderne envahit par le dieu automobile, ce moyen de transport synonyme de Liberté ?

 

Vos commentaires : petit film bien monté, la musique soutient les images qui sont bien agréables à regarder.

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Guy parti, en septembre, en mobil-home en Croatie, déçu par le slivovitz (contingenté ?)   S’est   rabattu   sur   « Venise   inattendue »   9,   3   jours complètement imprévus, cest cela aussi les joies du camping-car.

La réalisation comprend la visite des îles de Murano et de Burano, et bien entendu de la célèbre place St Marc et de ses environs.

Entendu dans les rangs : les plans filmés en marchant sont bien stables, bien que la réalisation regroupe les images de plusieurs caméscopes, cela ne se remarque pas dans le montage, le commentaire de la voix passe bien. Les plans sont bien cadrés et les couleurs respectées.

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Partis avec un VTT qui n’est pas le sien, n’ayant sur lui aucun équipement de sécurité. Raphaël en présence de son copain, chute dans les bois et se casse la clavicule. Qu’a-t-il appris de cette expérience ? Que fera-t-il à l’avenir ? Le film répond à ces questions.

Dominique présente un montage, didactique et moral, « Chute dans les bois »

747destiné à son petit-fils Raphaël âgé de 13 ans. Dont la fougue et lesprit de compétition le mettent en situation dangereuse. Les sports et le cyclisme en particulier nécessitent d’utiliser du matériel adéquat et des équipements de protection.

Vous en dites : Film bien fait, inressant et bien documenté.

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Rosine épaulée par ses adjointes vous invite à consommer modérément à la POZOBAR.

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Les  projections  reprennent  avec  une  réalisation  dAndré  VD  « Le  cirque Stromboli est à Wavre » 9. Qui relate la visite de Yolande et dAndré avec leurs petits-enfants, Charlotte et Julien, au cirque un samedi après-midi.

André se demande si le mariel employé est adéquat à la prise de vue en basse lumière.

Réponse de l’assistance : Le caméscope DIJI employé nest pas conçu pour la basse luminosité. Mais le résultat est très correct. Les blancs ne sont pas cramés comme cela peut se passer lorsqu’on filme un spectacle sur une scène brillamment éclairée par des spots. Certains caméscopes ont une touche « Spot light » pour pallier ce problème. Le film est bien apprécié, bonnes images avec des couleurs bien respectées. Ne pas mélanger l’audio d’ambiance du cirque (dont les paroles

des artistes) avec de la musique. Il est préférable de garder le son original.

L’incrustation « fond vert » est bonne.

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Alain poursuit la projection en présentant un film de 9’ « Afin que lon noublie jamais » Le réalisateur explique que ce documentaire est un hommage aux Héros Limalois de la Grande Guerre. Leurs noms ont été attribués à des rues du village. Le Comité des fêtes Limalois leur a consacré des plaques d’identifications et une inauguration a été organisée en décembre 2018.

Tout a été filmé sans préparation ni repérage.

Vos avis : film intéressant où on ressent la chaleur humaine. Les interviews sont bien menées, les personnes s’expriment aisément. Réalisation bien rythmée, sans longueurs.

Alain a un blog vidéo Facebook et YouTube présentant l’évènement.

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La séance se termine par un film de Lydie et Jean de 6’ « Blanchette, Gertrude et les autres » Si Eugène Boudin a peint beaucoup de vaches Normandes, tachetées brunes ou ombragées, elles ont toutes une origine étonnante.

Vous en dites : L’humour et la légèreté de la présentation est appréciée et commentée par l’assistance. Le mélange de plans en DV et HDV ne se remarque pas.  Excellent  film  et  l’auteur  a  berné  l’assistance : les  fameuses  vaches normandes sont en fait des vaches namuroises bien de chez nous !

Le président Dominique clôt les débats à 17h55

A vos agendas :           

2019                                   Décembre             10                           séance atelier dédiée au son et l’audio par Nelson Montoisy.

2020

Janvier

14

séance de projections

28

séance de projections

Février

11

Challenge

Mars

10

séance de projections

24

One minute film

Avril

28

séance de projections

Mai                       1er                                        Banquet RCCW

12                          séance de projections

26                          Excursion du RCCW Juin          

9                             Assemblée générale

23                          séance de projections

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Mieux tirer son « plan ».

Cadrer,   cest   choisir.   C’est                                            mettre  dans  un cadre  ce  que  l’oveut  que  le                                            spectateur voit et exclusivement  cela.  Autrement                                            dit,  il  faut  offrir au  spectateur  une  idée  par                                             plan,  ni  plus  ni moins.

Il  faut  absolument  éviter  les                                             plans          trop longs.    Habitué    à    assimiler                                            rapidement  clips et pubs, le spectateur contemporain s’ennuie très vite, ou pense à autre chose pendant la projection.

Pour donner du relief à limage, il faut utiliser les règles de la perspective : Disposer un premier plan

Un second plan

Au fond un arrière-plan un peu flou.

Toujours respecter la règle des tiers et ne pas couper un écran par moitié. Préférer 1/3 de ciel et 2/3 de paysage, ou le contraire. En cas de gros plan sur un visage, placer les yeux sur la ligne qui délimite le tiers supérieur du cadre.

Laisser de lair (de l’espace) dans le sens du regard, comme dans le sens du déplacement d’un personnage, d’un véhicule . . .

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La question du mois :

Qu’est devenu le bébé du film « Potemkine » ?

Le     président          Dominique          ouvre       la     séance        du mardi 26 novembre 2019 à 15h00.

Et Philippe, tout heureux nous annonce qu’il est grand-papa depuis hier, félicitation à toute la famille.

Vous êtes aujourdhui 18 :

Présents : Bouccin Jean-Paul, Dumont Danielle, Fosseur Francine, Gras Lydie, Heytens Jean-Pierre, Libert Alain, Mathieu NoëlMommer Philippe, Montoisy Dominique, Plas Jean, Rabaey Anita, Robberechts Guy, Ruttiens Georges, Thisse André, Van Dorpe André, Van Dyck Yolande, Vanden Bossche Rosine, Van Helshoecht Paul

Excusés : Arcelin Georges, Cousin Michel, De Bourdere Elisabeth, De Coo Martine, Liégeois Michel, Moens Jean-François, Mertens Raoul,  Stadion Marie- Claire, Weikmans Marc

Communications de service:

Challenge du 11 février 2020 : Sur proposition de Yolande 4 thèmes sont votés et retenus :

La mer.

Le tableau noir.

La forêt.

Au travers de la fenêtre.

La durée du ou des films présentés ne pourra pas dépasser 3 minutes, bande amorce, sigle et générique compris.

Plusieurs films peuvent être présentés par membre du RCCW.

Les films ne peuvent pas contenir déléments exrieurs, Internet, YouTube, etc.

One minute film du 24 mars 2020 :

Thème : « Une carte postale » c. à d. filmer une image, un endroit, un site, une ville, un sujet, une réalisation, présenter et mettre ce motif en valeur. Il pourrait s’agir d’un voyage, dun week-end, d’une excursion, d’une promenade, d’une ville ou d’une région. Un commentaire n’est pas nécessaire, mais apprécié. Tout comme un fond musical n’est pas indispensable mais il en sera tenu compte.

Tout apport exrieur, internet, réseaux sociaux, etc. . . .  est interdit.

Durée : 60 secondes, bande amorce, sigle et générique compris. Alain a approché Roger Closset, président du Club Pixel, deux membres de ce Club ont accepdêtre jurés à ce concours.

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Dominique passe aux projections.

Francine en ouverture représente son film « Au royaume des 1000 cascades de Krka » 511

Le parc national de Krka (prononcez KIRKA) est situé le long de la rivière Krka, (prononcez toujours Kirka) dans le sud de la Croatie, il est connu pour son innombrable série de cascades. Ce film, présenté le 25/06/2019, est une version corrigée, suite aux remarques ci-dessous :

Très bonne syntse de 5 min. sur l’endroit. Les images sont très belles. Le bruit des cascades est trop fort et on a parfois difficile à comprendre les commentaires. Trop d’images fixes à la fin du film.

Francine précise que son film n’est pas un documentaire, mais doit plus tôt être

Vu comme un poème filmé.

Vos commentaires aujourd’hui : Le son ressort bien mieux, les commentaires très poétiques sont bien dits avec une excellente diction, les images sont bien cadrées et nettes, le film passe bien et ne procure aucun sentiment de longueur. Cette réalisation vous a plu.

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Guy prend la suite avec « Trilogie Périgourdine » 11

Des vacances de septembre dernier dans le Périgord Guy a réalisé un film de 33’.

Ce film a été divisé en 3 petits films de 11 minutes chacun. Ils seront présentés au cours de 3 séances successives. À la fin de la troisième projection, l’on pourra ainsi vérifier si le principe tient la route. Ce film monté avec Edius 9.5 a utilisé les effets que M. Oury avait évoqués, c.a. d. intervallomètre, titre entre 2 plans, slow motion, etc. Deux caméscopes ont été utilisés, dont notamment le fameux DJI- Osmo-pocket. (Vous en trouverez les caractéristiques dans « le marché »)

Vous en dites : C’est un excellent road movie, les séquences et plans filmés avec le DJI sont étonnamment stables et fluides, même dans les escaliers.

Une discussion animée . . . faut-il ou non ingrer des renseignements ou commentaires techniques dans un film ? Il semble que dans ce cas c’est apprécié.

Par contre le son life des commentaires du guide (détériorés par un effet décho) devrait être modifié. Comment ? Jean-Paul, en professionnel, suggère de diminuer les basses de l’audio, mais dit-il, cela va amoindrir mais pas supprimer l’effet décho.

Les avis divergent également concernant laccéléré des plans du moulin.

De belles images, bien cadrées et stables, bien que le mélange de plans des deux caméscopes ne se remarque presque pas, un léger étalonnage des contrastes de certains plans pourrait peut-être être envisagé. Quelques petits sauts dimages entre des plans seraient atténués avec un petit fondu de 4 à 5 images.

La carte, en HDV, (venant dInternet) avec son itinéraire, dressée avec Photoshop, est très appréciée. La qualide la musique utilisée pour soutenir les images est impeccable. Bref vous avez apprécié ce film.

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Dominique poursuit avec un film de Lydie et Jean « Le premier Capétien » 10

Après l’effritement de l’empire Carolingien, une nouvelle dynastie va s’installer durablement à Senlis, sur le trône de l’État créé par Charlemagne.

Et la Senlis médiévale, avec son architecture romane de pierres blanches et ses innombrables ruelles qui la quadrillent en est le berceau.

Entendu dans les rangs : Le labial de la premre interview devrait être amélioré, Jean-Paul a décelé un écart de 2 images entre le son et le mouvement des lèvres. Son conseil : les pistes audios doivent être réglées et synchronisée sur la lettre

« P » ou « B ».

Le premier panoramique est tremblotant, il a été fait à main levée, il aurait dû être fait avec un DJI !

L’histoire tient en haleine, le titre répond au scénario et il y a une bonne synchronisation entre les plans, qui ne sont pas trop longs, et le commentaire. Bon rythme de la voix de ce film historique.

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Georges enchaîne avec son film « Balade à Middelkerke » 230 ‘’

Petit film de genre interlude entièrement réalisé avec un IPhone. Restant dans la famille Mac, Georges a monté cette réalisation avec IMovie. Il explique que l’usage de téléphone portable est de plus en plus utilisé pour la réalisation de petits documents pris à la volée dans des circonstances nécessitant vitesse, rapidité et célérité, donc le style scoop.

Vos avis : Il y a sur les plans une très nette dominante de teinte verte, les rouges pleurent. Un poteau à enlever. Certains plans manquent de netteté, mais cest un excellent exemple de ce que l’on peut réaliser en situation de fébrilité.

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Un dimanche de septembre 2019, sur la Grand-Place de Bruxelles, durant le rassemblement pour Folklorissimo, notre ami Noël fait parler les moustaches avec son film « L’Ordre des Moestajes de Bruxelles » 6

Vos commentaires : Très élogieux, très humoristique et très plaisant à regarder. Les interviews sont excellentes et drôles, peut-être par moment on a du mal à comprendre, le micro-cravate serait sans doute la solution. L’audio pourrait être retravaillé, c’est d’ailleurs ce que Noël envisage.

Mais vous avez apprécié cette réalisation comique et agréable.

Ensuite         les       dames        du      bar      vous       invitent         à consommer avec modération !

Dominique  reprend  le  déroulement  des  chose  sérieuses  avec  sa  réalisation

« Découverte de l’Oosterschelde » 6’

Sous les ordres du Capitaine et de son mousse de première classe, Brigitte et Dominique découvrent et apprécient la navigation sur l’Oosterschelde en septembre dernier à bord du « MS Princes des Flots »

Ce que vous en pensez : Film  et montage dynamique.  Les acrobaties pour réingrer le navire après les écluses ne se voient malheureusement pas. La réalisation fait ressentir avec réalisme le vécu de « quatre hommes et femmes sur un bateau ». Très beau et bon souvenir.

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Et Francine suit avec un documentaire, compte rendu, historique et circonstancié d’une journée de mai 2019 du RCCW à Lierre avec sa réalisation « Chantons Lierre sous la pluie » 1830

Vos commentaires : Un film bien monté avec de bonnes images bien cadrées. Il est inressant, historique et bien documenté, on apprécie les détails sur la tour Zimmer et la catdrale St Gomaire. Le commentaire sérieux et juste. La musique est bien adaptée. Attention au bruit de la pluie sur le parapluie.

Il n’y a que des éloges.

Question de l’auteure : Que peut-on dire de cette maison jaune, dont le guide a parlé, mais nous n’en avons rien retenu !!!

Échange de points de vue sur la Sabam, il semble que la Fédération des vidéastes amateurs avait un contrat avec cet organisme se rapportant à l’utilisation de musique. Ce contrat prendra fin le 31 12 2019, des discussions sont en cours.

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Guy termine cette séance bien remplie par son film « Le train marin » 6

Réalisé fin octobre 2019, rapport d’une randonnée découverte originale dans la baie du Mont St Michel à bord d’une remorque tractée à marée basse. Équipés de bottes les explorateurs découvrent dans les écluses à poissons, les espèces de la baie et côtoient les pécheurs à pied. La mytiliculture des moules bouchot, qui se différencie de celle de Zélande où les crustacés sont totalement immergés durant toute leur vie de 6 à 7 mois, alors qu’ici comme les moules sont 2 fois par jour hors de l’eau, elles ne sont consommables qu’au bout de 2 à 3 ans.

Entendu : Documentaire inressant et dynamique. Quelques plans ne sont pas tout à fait nets. Bien documenté. On a du mal à comprendre certains guides. Jean- Pierre attire l’attention que le compte à rebours dans la bande annonce qui ne se fait plus aujourd’hui.

Discussion : faut-il mettre le nom en sous-titre des poissons à l’écran ? Le faire serait peut-être une redondance de ce que l’on voit. Les avis divergent.

Le film est bien estimé.

Le président Dominique met fin aux débats à 18h00.

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Rappel : Votre prochaine séance le mardi 10 décembre est une demi-séance « Atelier » déde à l’audio et au son, elle sera animée par M. Nelson Montoisy

Ne là manquez pas !

Si vous avez des questions en ce qui concerne le son, merci de les envoyer à André VD. qui les regroupera à l’attention de M. Nelson Montoisy.


Date de création : 22/12/2019 @ 08:19
Catégorie : - Macaméscopes
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